Message d’Amour de Notre-Dame de Naju, le 14 octobre 1989
Ce message, des plus douloureux, des plus urgents, me semble l'un des plus importants.
La Vierge est angoissée. Elle demande de l'aide : prières, sacrifices, pénitences. Elle s'étend sur la perversion des âmes, même dans l'Eglise à tous les niveaux, sur la résistance, l'hostilité, le mépris, le dédain, l'indifférence, les feintes d'ignorance...envers ses larmes, ses appels, ses messages, ses apparition...
Et ici, pour la deuxième fois, elle annonce la Troisième Guerre mondiale. Elle en parlera aussi dans le message donné en la fête du Christ-Roi, dans la nuit du dimanche 26 novembre au lundi 27. Elle en a parlé la première fois dans son message du 5 juillet 1989.
Le 13 octobre 1989, intentionnellement, j'étais allé à Naju avec le Père Louis Bosmans, venu du Canada et Soeur Adeline Langlois, venue du Japon. La Vierge ne pleurait plus depuis un mois.
En ce vendredi 13, Elle commença à verser des larmes vers 5 h 20 - 5 h 30 de l'après-midi. Nous les vîmes. Puis des larmes de sang, le samedi 14 et le dimanche 15 octobre. Ensuite, chaque jour jusqu'au dimanche 26 novembre (Christ-Roi), jusqu'à minuit.
Dans la soirée, de très abondantes larmes jusqu'à minuit. Et les larmes cessèrent. Elles avaient coulé pendant quarante-cinq (45) jours. Et Julia reçut le plus douloureux, le plus terrifiant des messages.
Julia écrit : Je souffrais d'une manière si atroce que j'étais restée couchée dans ma mansarde sans pouvoir même bouger. Le Père Raymond Spies qui était venu la veille avec un ancien confrère belge, curé au Canada, et Soeur Adeline Langlois, canadienne et missionnaire au Japon, vint me visiter dans ma mansarde avec le Père Louis Bosmans.
Le Père Spies me donna sa bénédiction et me dit : "Julia, la Vierge a versé ce matin des larmes de sang en une abondance telle qu'elle n'en a jamais versé depuis les débuts. Essayez d'aller la voir. Nous allons vous aider."
Après avoir reçu la bénédiction du Père, je suis allée près de la Vierge, soutenue par plusieurs personnes. Je pus constater à quel point la Vierge, soutenue par plusieurs personnes. Je pus constater à quel point la Vierge avait versé des larmes de sang. Le napperon placé sous la statue était tout imbibé.
Je récitai le chapelet avec les deux Pères tout en versant des larmes. Mais au moment où je prononçais les paroles du cinquième mystère : "Méditons les souffrances de Jésus crucifié", je tombai et entrai en extase. J'appris après qu'il était alors 1 h 10 de l'après-midi. C'est à ce moment-là que j'entendis la Vierge me parler d'une voix très belle et douce, mais angoissée.
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Ma fille! Veux-tu souffrir pour le Saint Père?"
Julia : "Oui! Mère" ai-je répondu, mais ma voix ne sortait pas de ma bouche. La Vierge m'a comprise quand même.
La Sainte Mère, la Vierge Marie :
"Ma fille! Je te remercie. Le Congrès Eucharistique s'est terminé sans encombre grâce aux sacrifices et aux pénitences que vous avez offerts à cette intention. Toutefois, les démons astucieux continuent à organiser des bandes d'assassins pour attenter à sa vie. Offrez donc encore davantage de sacrifices et des souffrances pour qu'il soit sain et sauf."
Au moment où la Vierge cessa de parler, je commençai à subir des souffrances : celles de la crucifixion, celles causées par des flèches enflammées que des pécheurs avaient imbibées d'huile et dont mon coeur brûlait, comme activé par de grandes flammes.
J'ai subi, aussi des souffrances que je n'avais jamais imaginées, c'est-à-dire la torsion des membres, en haut, en bas, en arrière, telle que la subissaient les martyrs. J'ai dû subir aussi torture telle que celle-ci : on me faisait boire de l'eau de vaisselle et de l'eau excrémenteuse, en m'ouvrant la bouche de force. Cela fut excessivement douloureux et pénible.
Or, chaque fois que je subissais ces tortures des martyrs, les démons tombaient sans force et s'enfuyaient. En voyant cela, j'ai pu éprouver de la joie même au milieu de mes souffrances.
Puis, j'entendis de nouveau la voix angoissée de la Vierge :
La Sainte Mère, la Vierge Marie :
Ma fille! Remets-toi-en à moi! N'essaie pas de connaître les résultats, mais prie et offre sans cesse tes souffrances en sacrifice et en pénitence pour le Saint Père, les cardinaux, les évêques et les prêtres.
Ceux qui sont manoeuvrés par Satan auront beau de démener pour abattre le Saint Père et pour pousser l'Eglise vers sa destruction...
De plus, tous les démons deviendront impuissants quand vos sacrifices et vos pénitences s'uniront pour que mes larmes de sang ne coulent pas en vain. Cependant, de nos jours, les fils et les filles de l'Eglise tombent dans de désordre en se mettant à la suite de faux prophètes.
Les prêtres, vicaires de mon Fils Jésus, devront être attentifs à vivre l'Evangile le plus parfaitement possible, selon les directives de l'Eglise. Vous devez comprendre ce que furent les sacrifices que mon Fils Jésus a faits pour vous et les souffrances qu'Il a endurées pour obtenir votre salut.
Faites valoir la force de l'amour. Mon Coeur souffre tant à cause de la surdité et de l'aveuglement de ceux de mes enfants qui ne savent pas aimer. C'est pourquoi la colère de Dieu s'enflamme au plus haut point et d'une manière terrible.
Ma fille! Regarde ce que sont tant de mes enfants en ce monde. Ils se plaignent pour des riens : des maux de tête, des contusions, des égratignures.
C'est pourquoi Satan leur dresse des pièges entourés d'épines, y ajoutant son poison et sa cruauté. Les pieds qui devraient courir pour adorer Dieu, courent pour faire le mal. Les lèvres qui devraient servir à bénir et à louer le Fils de Dieu, servent au contraire à blasphémer et à murmurer contre Dieu. C'est pourquoi le monde enveloppé de ténèbres provoque le courroux de Dieu et cela d'une telle manière que son châtiment est sur le point de s'abattre sur le monde entier.
Si mes enfants mènent une vie évangélique en accueillant mes messages, sans négliger mes larmes et mes larmes de sang, ils seront sauvés. Mais s'ils ne les acceptent pas, les grandes calamités qui se produisent dans le ciel, sur terre et sur les mers, ne cesseront pas et le monde ne sera pas exempté de toutes sortes de malheurs. C'est pourquoi ne prenez rien pour un fait accidentel. Veillez pour prier. Avant longtemps le monde se trouvera en face de malheurs extraordinaires.
O mes enfants! Je vous en prie! Si vous n'avancez pas vers le ciel en abandonnant la voie du mal et en mettant en pratique mes messages à l'exemple du peuple d'Israël qui, délivré de l'esclavage en Egypte, entra dans la terre promise de Canaan après avoir traversé la Mer Rouge, vous n'échapperez pas à la Troisième Guerre mondiale. Alors, tout regret sera inutile.
Vous ne devez pas oublier que je fais appel à vous maintenant avec des larmes interminables, de la même manière que Dieu avait appelé Moïse sur le mont Sinaï, pour sauver le peuple d'Israël. Et que serait-il advenu si Noé, à qui Yahvé avait ordonné de construire l'Arche pour le sauver, ne Lui avait pas répondu "Oui" en Lui obéissant?
Gravez bien dans vos coeurs mes Appels que je vous lance avec des larmes de sang. Pourquoi êtes-vous à ce point aveugles et sourds. Mon coeur brûle d'un feu à grandes flammes parce que les familles, l'Eglise, la société sont corrompues et que les hommes de la politique ne s'entendent pas entre eux. O mes enfants, renoncez vite à votre "moi" et venez à moi..."
Julia écrit ici : "Alors, la Vierge sanglota d'une voix qui ressemblait à une lamentation."
Julia : "O Mère! Veuillez dire aux évêques et aux prêtres ce qu'il faut faire. Moi, je n'en suis pas capable, parce que je sens par trop mon insuffisance."
La Sainte Mère, la Vierge Marie:
"Sois tranquille. Dieu a aimé la bassesse de sa servante pour agir en elle et avec elle, parce qu'elle avait conscience de sa grande faiblesse. Les démons te tourmentent parce que beaucoup d'âmes sont sauvées grâce à tes souffrances. Pour cela, je te demande de les offrir avec coeur."
Julia : "O Mère! Cela m'est difficile, car je me sens si faible..."
La Sainte Mère, la Vierge Marie :
"Si je ne vous avais pas aidés, depuis longtemps déjà le monde serait devenu une mer de feu. Pourtant, je ne vous abandonnerai jamais. N'ouvrez vos oreilles que pour écouter des choses qui en valent la peine et fermez-les quand vous entendrez des mauvais propos.
Même si vous marchez dans la nuit, suivez-moi avec confiance. Et si vous accueillez avec coeur mes Messages pour les mettre en pratique, vos soupirs se changeront en joie."
Dès que la Vierge eût fini de parler, Jésus m'apparut dans une grande lumière, vêtu d'un vêtement blanc et portant un manteau rouge. Il me donna sa bénédiction et disparut. Il était 4 h 10 de l'après-midi quand je revins de mon extase.
Message d’Amour de Notre-Dame de Naju, le 14 octobre 1989
Ce message, des plus douloureux, des plus urgents, me semble l'un des plus importants.
La Vierge est angoissée. Elle demande de l'aide : prières, sacrifices, pénitences. Elle s'étend sur la perversion des âmes, même dans l'Eglise à tous les niveaux, sur la résistance, l'hostilité, le mépris, le dédain, l'indifférence, les feintes d'ignorance...envers ses larmes, ses appels, ses messages, ses apparition...
Et ici, pour la deuxième fois, elle annonce la Troisième Guerre mondiale. Elle en parlera aussi dans le message donné en la fête du Christ-Roi, dans la nuit du dimanche 26 novembre au lundi 27. Elle en a parlé la première fois dans son message du 5 juillet 1989.
Le 13 octobre 1989, intentionnellement, j'étais allé à Naju avec le Père Louis Bosmans, venu du Canada et Soeur Adeline Langlois, venue du Japon. La Vierge ne pleurait plus depuis un mois.
En ce vendredi 13, Elle commença à verser des larmes vers 5 h 20 - 5 h 30 de l'après-midi. Nous les vîmes. Puis des larmes de sang, le samedi 14 et le dimanche 15 octobre. Ensuite, chaque jour jusqu'au dimanche 26 novembre (Christ-Roi), jusqu'à minuit.
Dans la soirée, de très abondantes larmes jusqu'à minuit. Et les larmes cessèrent. Elles avaient coulé pendant quarante-cinq (45) jours. Et Julia reçut le plus douloureux, le plus terrifiant des messages.
Julia écrit : Je souffrais d'une manière si atroce que j'étais restée couchée dans ma mansarde sans pouvoir même bouger. Le Père Raymond Spies qui était venu la veille avec un ancien confrère belge, curé au Canada, et Soeur Adeline Langlois, canadienne et missionnaire au Japon, vint me visiter dans ma mansarde avec le Père Louis Bosmans.
Le Père Spies me donna sa bénédiction et me dit : "Julia, la Vierge a versé ce matin des larmes de sang en une abondance telle qu'elle n'en a jamais versé depuis les débuts. Essayez d'aller la voir. Nous allons vous aider."
Après avoir reçu la bénédiction du Père, je suis allée près de la Vierge, soutenue par plusieurs personnes. Je pus constater à quel point la Vierge, soutenue par plusieurs personnes. Je pus constater à quel point la Vierge avait versé des larmes de sang. Le napperon placé sous la statue était tout imbibé.
Je récitai le chapelet avec les deux Pères tout en versant des larmes. Mais au moment où je prononçais les paroles du cinquième mystère : "Méditons les souffrances de Jésus crucifié", je tombai et entrai en extase. J'appris après qu'il était alors 1 h 10 de l'après-midi. C'est à ce moment-là que j'entendis la Vierge me parler d'une voix très belle et douce, mais angoissée.
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Ma fille! Veux-tu souffrir pour le Saint Père?"
Julia : "Oui! Mère" ai-je répondu, mais ma voix ne sortait pas de ma bouche. La Vierge m'a comprise quand même.
La Sainte Mère, la Vierge Marie :
"Ma fille! Je te remercie. Le Congrès Eucharistique s'est terminé sans encombre grâce aux sacrifices et aux pénitences que vous avez offerts à cette intention. Toutefois, les démons astucieux continuent à organiser des bandes d'assassins pour attenter à sa vie. Offrez donc encore davantage de sacrifices et des souffrances pour qu'il soit sain et sauf."
Au moment où la Vierge cessa de parler, je commençai à subir des souffrances : celles de la crucifixion, celles causées par des flèches enflammées que des pécheurs avaient imbibées d'huile et dont mon coeur brûlait, comme activé par de grandes flammes.
J'ai subi, aussi des souffrances que je n'avais jamais imaginées, c'est-à-dire la torsion des membres, en haut, en bas, en arrière, telle que la subissaient les martyrs. J'ai dû subir aussi torture telle que celle-ci : on me faisait boire de l'eau de vaisselle et de l'eau excrémenteuse, en m'ouvrant la bouche de force. Cela fut excessivement douloureux et pénible.
Or, chaque fois que je subissais ces tortures des martyrs, les démons tombaient sans force et s'enfuyaient. En voyant cela, j'ai pu éprouver de la joie même au milieu de mes souffrances.
Puis, j'entendis de nouveau la voix angoissée de la Vierge :
La Sainte Mère, la Vierge Marie :
Ma fille! Remets-toi-en à moi! N'essaie pas de connaître les résultats, mais prie et offre sans cesse tes souffrances en sacrifice et en pénitence pour le Saint Père, les cardinaux, les évêques et les prêtres.
Ceux qui sont manoeuvrés par Satan auront beau de démener pour abattre le Saint Père et pour pousser l'Eglise vers sa destruction...
De plus, tous les démons deviendront impuissants quand vos sacrifices et vos pénitences s'uniront pour que mes larmes de sang ne coulent pas en vain. Cependant, de nos jours, les fils et les filles de l'Eglise tombent dans de désordre en se mettant à la suite de faux prophètes.
Les prêtres, vicaires de mon Fils Jésus, devront être attentifs à vivre l'Evangile le plus parfaitement possible, selon les directives de l'Eglise. Vous devez comprendre ce que furent les sacrifices que mon Fils Jésus a faits pour vous et les souffrances qu'Il a endurées pour obtenir votre salut.
Faites valoir la force de l'amour. Mon Coeur souffre tant à cause de la surdité et de l'aveuglement de ceux de mes enfants qui ne savent pas aimer. C'est pourquoi la colère de Dieu s'enflamme au plus haut point et d'une manière terrible.
Ma fille! Regarde ce que sont tant de mes enfants en ce monde. Ils se plaignent pour des riens : des maux de tête, des contusions, des égratignures.
C'est pourquoi Satan leur dresse des pièges entourés d'épines, y ajoutant son poison et sa cruauté. Les pieds qui devraient courir pour adorer Dieu, courent pour faire le mal. Les lèvres qui devraient servir à bénir et à louer le Fils de Dieu, servent au contraire à blasphémer et à murmurer contre Dieu. C'est pourquoi le monde enveloppé de ténèbres provoque le courroux de Dieu et cela d'une telle manière que son châtiment est sur le point de s'abattre sur le monde entier.
Si mes enfants mènent une vie évangélique en accueillant mes messages, sans négliger mes larmes et mes larmes de sang, ils seront sauvés. Mais s'ils ne les acceptent pas, les grandes calamités qui se produisent dans le ciel, sur terre et sur les mers, ne cesseront pas et le monde ne sera pas exempté de toutes sortes de malheurs. C'est pourquoi ne prenez rien pour un fait accidentel. Veillez pour prier. Avant longtemps le monde se trouvera en face de malheurs extraordinaires.
O mes enfants! Je vous en prie! Si vous n'avancez pas vers le ciel en abandonnant la voie du mal et en mettant en pratique mes messages à l'exemple du peuple d'Israël qui, délivré de l'esclavage en Egypte, entra dans la terre promise de Canaan après avoir traversé la Mer Rouge, vous n'échapperez pas à la Troisième Guerre mondiale. Alors, tout regret sera inutile.
Vous ne devez pas oublier que je fais appel à vous maintenant avec des larmes interminables, de la même manière que Dieu avait appelé Moïse sur le mont Sinaï, pour sauver le peuple d'Israël. Et que serait-il advenu si Noé, à qui Yahvé avait ordonné de construire l'Arche pour le sauver, ne Lui avait pas répondu "Oui" en Lui obéissant?
Gravez bien dans vos coeurs mes Appels que je vous lance avec des larmes de sang. Pourquoi êtes-vous à ce point aveugles et sourds. Mon coeur brûle d'un feu à grandes flammes parce que les familles, l'Eglise, la société sont corrompues et que les hommes de la politique ne s'entendent pas entre eux. O mes enfants, renoncez vite à votre "moi" et venez à moi..."
Julia écrit ici : "Alors, la Vierge sanglota d'une voix qui ressemblait à une lamentation."
Julia : "O Mère! Veuillez dire aux évêques et aux prêtres ce qu'il faut faire. Moi, je n'en suis pas capable, parce que je sens par trop mon insuffisance."
La Sainte Mère, la Vierge Marie:
"Sois tranquille. Dieu a aimé la bassesse de sa servante pour agir en elle et avec elle, parce qu'elle avait conscience de sa grande faiblesse. Les démons te tourmentent parce que beaucoup d'âmes sont sauvées grâce à tes souffrances. Pour cela, je te demande de les offrir avec coeur."
Julia : "O Mère! Cela m'est difficile, car je me sens si faible..."
La Sainte Mère, la Vierge Marie :
"Si je ne vous avais pas aidés, depuis longtemps déjà le monde serait devenu une mer de feu. Pourtant, je ne vous abandonnerai jamais. N'ouvrez vos oreilles que pour écouter des choses qui en valent la peine et fermez-les quand vous entendrez des mauvais propos.
Même si vous marchez dans la nuit, suivez-moi avec confiance. Et si vous accueillez avec coeur mes Messages pour les mettre en pratique, vos soupirs se changeront en joie."
Dès que la Vierge eût fini de parler, Jésus m'apparut dans une grande lumière, vêtu d'un vêtement blanc et portant un manteau rouge. Il me donna sa bénédiction et disparut. Il était 4 h 10 de l'après-midi quand je revins de mon extase.