Message du 27 juillet 1988
Sur l'avortement - J'endurai les douleurs de l'enfantement, de 11 h 30 du soir à 2 heures du matin. Tout d'abord j'éprouvai de fortes douleurs au ventre. Puis, je n'arrivais plus à ouvrir les yeux : il semblait qu'ils étaient piqués par des épines. Tout cela me faisait beaucoup souffrir.
La Vierge guérit les blessures des enfants morts sans avoir pu naître en ce monde. Mon ventre s'enflait : c'était pour réparer les péchés commis par les mamans ne menant pas à terme leurs bébés. Et j'enfante à la place des mamans qui n'ont pas voulu mettre au monde leurs enfants.
Marie, notre Mère, leur fait boire alors de cette eau de la fontaine de grâces que je leur obtiens par mes souffrances endurées pour leur conversion.
Si nous faisons notre possible en Lui confiant tout, nous pouvons être sûrs qu'Elle sera notre consolation. La douleur de ne pouvoir ouvrir les yeux signifie que la Vierge, Elle aussi, ne peut les ouvrir à cause des péchés des hommes, péchés qui dépassent toute mesure. Alors, j'entendis la voix de la Vierge, sans en voir l'aspect.
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Ma fille! Moi aussi je désolée pour les souffrances que tu subis. Mais, je suis consolée par ton coeur qui donne sa vie pour sauver un grand nombre d'âmes, et ce sera par tes souffrances que beaucoup d'âmes se convertiront."
Julia : Dans mon coeur, je murmurai ceci à notre Mère :
"O Mère! Vraiment, je ne suis qu'une pauvre pécheresse. Mais la pécheresse que je suis n'appartient qu'à vous seule. Que votre volonté soit faite."
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Merci, ma fille! Bien que tu te prennes pour quelqu'un d'insignifiant, tu m'es précieuse comme me sont précieux d'ailleurs tous mes enfants, mais toi, tu es un instrument précieux qui ne peut pas me manquer."
Julia : "O Mère! Je ne suis qu'un pauvre instrument. Et pourtant que ne ferais-je pas pour mon Seigneur, dusses-je en avoir le corps brisé et déchiré en mille morceaux! Attirez-moi à vous pour que, sans honte, je puisse être votre instrument."
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Tes yeux te font encore fort mal?"
Julia : "Oui, Mère."
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Vraiment, ils sont si nombreux les péchés que les pécheurs commettent par les yeux, que, moi-même, vois-tu, je ne peux les voir en ouvrant les yeux, C'est pour cela que, maintenant, tu fais acte de réparation, avec moi, pour leurs péchés. Et les souffrances que tu endures à cause des enfants avortés et pour faire pénitence à la place des malheureuses âmes qui provoquent l'avortement ne seront jamais vaines."
Julia : "Je vous remercie, Mère! Servez-vous encore davantage de moi comme instrument et sans réserve."
Une fois passé les souffrances que j'avais subies, comme décrites plus haut, je ne parvins pas à m'endormir à cause d'un mal indicible que j'éprouvais.
Toutefois, je pus le supporter en pensant que le Seigneur était avec moi. Mes yeux restaient fermés, n'arrivant pas à les ouvrir.
Message du 27 juillet 1988
Sur l'avortement - J'endurai les douleurs de l'enfantement, de 11 h 30 du soir à 2 heures du matin. Tout d'abord j'éprouvai de fortes douleurs au ventre. Puis, je n'arrivais plus à ouvrir les yeux : il semblait qu'ils étaient piqués par des épines. Tout cela me faisait beaucoup souffrir.
La Vierge guérit les blessures des enfants morts sans avoir pu naître en ce monde. Mon ventre s'enflait : c'était pour réparer les péchés commis par les mamans ne menant pas à terme leurs bébés. Et j'enfante à la place des mamans qui n'ont pas voulu mettre au monde leurs enfants.
Marie, notre Mère, leur fait boire alors de cette eau de la fontaine de grâces que je leur obtiens par mes souffrances endurées pour leur conversion.
Si nous faisons notre possible en Lui confiant tout, nous pouvons être sûrs qu'Elle sera notre consolation. La douleur de ne pouvoir ouvrir les yeux signifie que la Vierge, Elle aussi, ne peut les ouvrir à cause des péchés des hommes, péchés qui dépassent toute mesure. Alors, j'entendis la voix de la Vierge, sans en voir l'aspect.
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Ma fille! Moi aussi je désolée pour les souffrances que tu subis. Mais, je suis consolée par ton coeur qui donne sa vie pour sauver un grand nombre d'âmes, et ce sera par tes souffrances que beaucoup d'âmes se convertiront."
Julia : Dans mon coeur, je murmurai ceci à notre Mère :
"O Mère! Vraiment, je ne suis qu'une pauvre pécheresse. Mais la pécheresse que je suis n'appartient qu'à vous seule. Que votre volonté soit faite."
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Merci, ma fille! Bien que tu te prennes pour quelqu'un d'insignifiant, tu m'es précieuse comme me sont précieux d'ailleurs tous mes enfants, mais toi, tu es un instrument précieux qui ne peut pas me manquer."
Julia : "O Mère! Je ne suis qu'un pauvre instrument. Et pourtant que ne ferais-je pas pour mon Seigneur, dusses-je en avoir le corps brisé et déchiré en mille morceaux! Attirez-moi à vous pour que, sans honte, je puisse être votre instrument."
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Tes yeux te font encore fort mal?"
Julia : "Oui, Mère."
La Sainte Mère, la Vierge Marie : "Vraiment, ils sont si nombreux les péchés que les pécheurs commettent par les yeux, que, moi-même, vois-tu, je ne peux les voir en ouvrant les yeux, C'est pour cela que, maintenant, tu fais acte de réparation, avec moi, pour leurs péchés. Et les souffrances que tu endures à cause des enfants avortés et pour faire pénitence à la place des malheureuses âmes qui provoquent l'avortement ne seront jamais vaines."
Julia : "Je vous remercie, Mère! Servez-vous encore davantage de moi comme instrument et sans réserve."
Une fois passé les souffrances que j'avais subies, comme décrites plus haut, je ne parvins pas à m'endormir à cause d'un mal indicible que j'éprouvais.
Toutefois, je pus le supporter en pensant que le Seigneur était avec moi. Mes yeux restaient fermés, n'arrivant pas à les ouvrir.