J’étais alors épuisée, incapable même d’ouvrir les yeux, accablée de nombreuses souffrances à partir du moment où j’ai décidé de rédiger le livre sur les Cinq Spiritualités. Je me suis effondrée dans un état d’épuisement total après avoir subi des épreuves indescriptibles. J’ai eu une expérience proche de la mort surtout pendant que je travaillais. Comme mes souffrances s’intensifiaient au point que j’étais incapable de travailler, on m’a fait un bilan-médical. A la consternation de tous, mon niveau de potassium atteignit 12.5 ce qui représente le chiffre de potassium que l’on trouve dans des cas ordinaires seulement chez les morts (Le taux normal de potassium étant entre 3.5 à 5) et ma saturation d’oxygène baissa à 82 %(Le taux normal étant de 95 à 100%).
Puis le système nerveux autonome qui contrôle tous les organes du corps ne fonctionnait pas bien, il était au seuil de l’état le plus critique. D’autre part, ont suivi une insuffisance cardiaque et de l’asthme et mon anus a fait saillie de manière excessive puis les parties privées de mon corps se déchirèrent et se détachèrent, se mirent à saigner (en réparation de la fornication). Tout cela a rendu plus difficile mes mouvements. De plus, la température de mon corps est tombée à 22.3 degrés ce qui dépasse nos connaissances médicales courantes. Pendant ce temps, les démons continuaient de m’attaquer au-delà de toute description.
En préparant la réunion de prières du premier samedi de novembre, je continuais de souffrir péniblement. J’ai offert en sacrifice mes souffrances, des douleurs extrêmes aux parties privées de mon corps ; mon anus se déchira puis se détacha en saignant en réparation pour les péchés d’obscénité, d’avortement et d’homosexualité. Mais mon cœur était rempli de joie croyant que les pèlerins venant à Naju se repentiraient et seraient guéris à travers mes souffrances. Comme je suis heureuse !
En plein milieu de la réunion de prière, le 4 novembre, le premier samedi du mois, j’ai été accablée de douleurs et j’ai alors reçu le sacrement des malades dans une antichambre. Malgré tout cela, alors que je m’apprêtais à sortir de la pièce pour témoigner devant les pèlerins, tout à coup, j’ai eu un infarctus du myocarde. Comme j’avais mal à respirer, j’ai pensé que j’allais mourir mais j’ai prié en le transformant en prière : « Seigneur, je Vous en prie, guérissez les pèlerins qui ont de graves maladies du cœur (à travers mes souffrances) aujourd’hui ! J’ai pris de la nitroglycérine (un médicament utilisé pour traiter les douleurs à la poitrine) en le gardant sous ma langue puis je suis allée vers la tribune en priant : « Seigneur ! Je m’offre entièrement à Vous que je meurs ou que je vive ! »
Note : les personnes qui prennent ce médicament, la nitroglycérine, qui est une source explosive entraînant très rapidement la dilatation des vaisseaux sanguins savent bien qu’il ne faut pas bouger mais plutôt se reposer jusqu’à ce que le corps ait absorbé le médicament. Cependant, Julia Kim qui confie tout au Seigneur et à la Sainte Vierge est montée sur l’autel dès qu’elle eut mis le médicament sous sa langue offrant ainsi gracieusement son agonie qui saisissait son cœur et son corps entier.
J’étais à moitié consciente tout en éprouvant des douleurs, j’avais presque perdu connaissance, cependant dès que le médicament qui était sous ma langue eut fondu, je me suis mise à parler aux pèlerins en m’épuisant pour donner mon témoignage tout en faisant des efforts désespérés. Une fois terminé, des douleurs aigues envahirent ma tête comme si elle allait exploser le plus tôt possible. On m’a administré une deuxième fois l’extrême onction. Mon corps commença à se pelotonner tout en me faisant souffrir. Alors le prêtre m’administra à nouveau l’onction.
Vers trois heures, je me suis mise à crier du fond de mon cœur ardemment vers le Seigneur : « O mon Seigneur bien-aimé qui est mon tout ! A présent, j’ai l’impression que je vais mourir dans de brefs délais, mais je Vous offre volontiers toutes ces souffrances innombrables que j’ai endurées pour la rédaction des Cinq Spiritualités. Alors, je Vous en prie, accordez à vos enfants qui sont réunis ici aujourd’hui la grâce du repentir. Tout spécialement en ce mois consacré à tous les morts, je Vous serais reconnaissante d’emmener au Ciel les âmes des familles et des proches des pèlerins ainsi que celles pour lesquelles ils sont en train de prier si ces âmes étaient au Purgatoire. Si Vous l’acceptez, je vais faire réparation à leur place. A ce moment-là, Jésus qui était revêtu d’un manteau blanc à mes côtés avec une allure charitable. Je commençais à me lever mais je suis tombée avec des douleurs. Jésus me regarda en pitié et me dit :
Jésus : « Ma Petite Ame qui aime ton prochain plus que toi-même ! N’es-tu pas effrayée ou affligée par les souffrances que tu endures au bord de la mort ? »
Julia : « Je suis heureuse avec mes souffrances parce qu’elles apportent l’espoir qu’une seule âme de plus se repente. Mais parfois, je désire être en bonne santé. Parce que je ressens souvent des difficultés et je suis désolée d’avoir à demander l’aide d’une personne lorsque je souffre.D’ailleurs, il me reste beaucoup de travail à faire pour le Seigneur mais que je n’arrive pas à faire. »
Jésus : « Je vois. S’ils collaborent avec toi du fond de leur cœur en accomplissant le travail que tu fais, ils recevront la même récompense que la tienne et partageront la joie avec toi à côté de Ma Mère et de Moi-même au dernier jour. Comme je l’ai déjà dit, aider Ma Petite Ame, cela revient à M’aider Moi-même et Ma Mère. Ainsi, cela signifie qu’ils pourront jouir du bonheur éternel avec toi aux côtés de Moi et de Ma Mère au dernier jour, n’est-ce pas ?
Ma pauvre fille, Mon enfant chéri ! Comme cela a dû être dur pour toi de les voir aussi désobéissants que les Israélites. Mais finalement ils vont se réveiller et se joindre à toi d’un cœur reconnaissant. Cependant, s’ils ne se réveillent pas, c’est leur part, alors ne te fais plus de peine. Dieu le Père ne t’a-t-Il pas dit que même lorsque tu ne fais que respirer, tu joues un rôle significatif pour sauver de nombreuses âmes ? »
Julia : « Je ne suis qu’une pècheresse indigne. Mais mon Jésus bien-aimé qui est mon tout! Cette pècheresse bien qu’elle soit indigne Vous implore à nouveau. Bien que ces douleurs me mènent à deux doigts de la mort avec des saignements abondants et un affaiblissement de la conscience, je souhaite que Vous permettiez aux âmes du Purgatoire, tout spécialementaux âmes des familles des pèlerins de Naju et de leurs parents qui sont réunis ici malgré toutes sortes de persécutions et aussi aux âmes pour lesquelles ils ont prié, d’aller au Ciel en ce mois consacré à tous les morts. »
Jésus : « Dans ce monde actuel, même la majorité des membres du clergé, des religieux et des enfants qui ont été spécialement appelés gardent les portes de leur esprit verrouillées, bloquant l’entrée avec leurs propres connaissances sont balayés par les vagues violentesde leur amour dénaturé.
Cependant, soi-disant qu’ils Me font connaître au peuple tout en se préoccupant de fausses spiritualités qui dissimulent leur hypocrisie et leur avidité, ils te persécutent avec une ruse calomnieuse, toi qui Me rend témoignage avec une fidélité incomparable. Dans ce sens, ce monde est devenu atroce et misérable faisant bloc au salut.
(Note : Peu à peu cela s’imbibe dans leur esprit et ils ne font confiance qu’en eux-mêmes comme l’eau qui pénètre discrètement, alors ils renversent leur prochain en procédant à des attaques astucieuses et calomnieuses.)
Néanmoins, tu as accepté les obstacles étant des mesures extrêmement injustes comme un cadeau pour accélérer l’acquisition des saintes vertus, en offrant volontairement les souffrances de la double mort qui te submergent à tous les instants pour leur salut en avançant avec un esprit courageux sans hésitation. C’est pourquoi, comment pourrais-je refuser ta supplication ? Puisque tes souffrances unies à mes souffrances étaient si intenses aujourd’hui, je sauverai dix-mille trois âmes(les 10,003 âmes) du Purgatoire comme tu le désires. Regarde à présent ! »
Jésus me montra des tombes innombrables puis je vis des bouts de bois noirs posés devant ces tombes.
Jésus : « Souffle sur ces tombes »
Julia : « Quoi donc ? Moi ? »
Jésus : « Oui, tu as toujours bien fait ce que je t’ai demandé de faire, c’est pourquoi je te demande de souffler cette fois-ci. Tu l’as déjà fait auparavant, n’est-ce pas ? A ce moment-là, tu as pu bien voler parce que tu as fait ce que je t’ai demandé. Sur le chemin, il y avait tant de tombes et je t’ai demandé de “souffler sur les tombes.’’
Et lorsque tu as soufflé sur les tombes, comme cela t’avait été ordonné, les tombes se sont ouvertes. Puis lorsque tu as soufflé à nouveau, les os se sont rejoints en faisant un grand bruit. Ensuite, lorsque tu as soufflé sur les os, ils se sont recouverts de chair et finalement lorsque tu as soufflé sur eux, ils se sont mis à respirer. Ils sont revenus à la vie, ont été sauvés et sont allés au Ciel. Tu t’en souviens ? »
Julia : « Bien sûr, je m’en souviens clairement comme si cela venait juste d’avoir eu lieu hier. Mais comment le Seigneur et la Sainte Mère ont-ils pu confier cette grande œuvre à une pècheresse indigne comme moi ? »
Jésus : « Ne t’ai-Je pas déjà dit que Je t’ai préparée ? Je t’ai mis à l’épreuve vraiment de nombreuses fois pendant ce temps. Mais tu ne M’as déjà déçu pas même un seul instant. A présent, souffle, vas-y ! »
Je me mis à souffler de toutes mes forces sur les tombes innombrables. C’est alors que tous les bâtons noirs qui étaient couchés devant les tombes disparurent et, à leur place, se dressaient des croix lumineuses. A ce moment-là, Jésus éleva ses mains et bénit les tombes en disant.
Jésus : « Aujourd’hui Je vais donner une absolution complète sur les réparations inachevées de ces âmes (les 10,003 âmes) du Purgatoire grâce aux supplications de la Petite Ame. Voilà toutes les âmes que tu as sauvées aujourd’hui ! »
Julia : « Jésus, mon Seigneur, je sais qu’elles ont été sauvées. Mais il ne m’a pas été donné de voir de mes propres yeux leur tombes s’ouvrir ou bien leurs âmes s’élever au Ciel. »
Jésus : « Je leur ai accordé le pardon pour leurs pénitences inachevées grâce à ta supplication sanglante, c’est pourquoi leurs âmes se sont purifiées et des croix lumineuses ont été érigées, n’est-ce pas ? Elles ont déjà été élevées au Ciel escortées par les anges. Toutefois, veux-tu vraiment le voir de tes propres yeux ? »
Julia : « Oui, je le veux. Pourriez-Vous me le reproduire ? »
Jésus : « Oh, quelle adorable et charmante enfant favori, mon enfant! Devrais-Je te le montrer en le reproduisant? »
Julia : « Oui, j’aimerais bien. »
Aussitôt après ma réplique, ces innombrables tombes s’ouvrirent et un grand nombre d’âmes émergèrent de leurs tombes. Capturée par la scène, je m’exclamais spontanément. Les âmes montaient au Ciel comme des papillons escortées par les anges. Ils étaient si nombreux qu’on ne pouvait pas les compter.
« Oh, mon Amour, mon Tout ! Qui suis-je, moi cette pécheresse, pour que Vous m’aimiez tant ? Même au cœur des souffrances d’agonie, mon cœur qui va vers Vous est aussi joyeux comme cela. Que devrais-je désirer de plus que cela ? Vous seul êtes ma joie, mon espoir et mon tout ! Même si le poids des souffrances pèse lourd sur moi, mon cœur est plein de joie comme cela. C’est le repos et la paix de cette pécheresse. Chaque fois que c’est nécessaire, Vous nous accordez autant de grâces que nous en avons besoin. Vous êtes l’amour éternel pour chacun de nous. »
Ce n’est qu’après avoir rencontré Jésus que j’ai repris conscience et j’ai pu rencontrer les pèlerins pendant le temps de rencontre pour partager l’amour de Dieu avec eux.
Ses douleurs reçus pendant Julia est en train d'écrire le Message
Message de Jésus, le 5 novembre 2017
J’étais alors épuisée, incapable même d’ouvrir les yeux, accablée de nombreuses souffrances à partir du moment où j’ai décidé de rédiger le livre sur les Cinq Spiritualités. Je me suis effondrée dans un état d’épuisement total après avoir subi des épreuves indescriptibles. J’ai eu une expérience proche de la mort surtout pendant que je travaillais. Comme mes souffrances s’intensifiaient au point que j’étais incapable de travailler, on m’a fait un bilan-médical. A la consternation de tous, mon niveau de potassium atteignit 12.5 ce qui représente le chiffre de potassium que l’on trouve dans des cas ordinaires seulement chez les morts (Le taux normal de potassium étant entre 3.5 à 5) et ma saturation d’oxygène baissa à 82 %(Le taux normal étant de 95 à 100%).
Puis le système nerveux autonome qui contrôle tous les organes du corps ne fonctionnait pas bien, il était au seuil de l’état le plus critique. D’autre part, ont suivi une insuffisance cardiaque et de l’asthme et mon anus a fait saillie de manière excessive puis les parties privées de mon corps se déchirèrent et se détachèrent, se mirent à saigner (en réparation de la fornication). Tout cela a rendu plus difficile mes mouvements. De plus, la température de mon corps est tombée à 22.3 degrés ce qui dépasse nos connaissances médicales courantes. Pendant ce temps, les démons continuaient de m’attaquer au-delà de toute description.
En préparant la réunion de prières du premier samedi de novembre, je continuais de souffrir péniblement. J’ai offert en sacrifice mes souffrances, des douleurs extrêmes aux parties privées de mon corps ; mon anus se déchira puis se détacha en saignant en réparation pour les péchés d’obscénité, d’avortement et d’homosexualité. Mais mon cœur était rempli de joie croyant que les pèlerins venant à Naju se repentiraient et seraient guéris à travers mes souffrances. Comme je suis heureuse !
En plein milieu de la réunion de prière, le 4 novembre, le premier samedi du mois, j’ai été accablée de douleurs et j’ai alors reçu le sacrement des malades dans une antichambre. Malgré tout cela, alors que je m’apprêtais à sortir de la pièce pour témoigner devant les pèlerins, tout à coup, j’ai eu un infarctus du myocarde. Comme j’avais mal à respirer, j’ai pensé que j’allais mourir mais j’ai prié en le transformant en prière : « Seigneur, je Vous en prie, guérissez les pèlerins qui ont de graves maladies du cœur (à travers mes souffrances) aujourd’hui ! J’ai pris de la nitroglycérine (un médicament utilisé pour traiter les douleurs à la poitrine) en le gardant sous ma langue puis je suis allée vers la tribune en priant : « Seigneur ! Je m’offre entièrement à Vous que je meurs ou que je vive ! »
Note : les personnes qui prennent ce médicament, la nitroglycérine, qui est une source explosive entraînant très rapidement la dilatation des vaisseaux sanguins savent bien qu’il ne faut pas bouger mais plutôt se reposer jusqu’à ce que le corps ait absorbé le médicament. Cependant, Julia Kim qui confie tout au Seigneur et à la Sainte Vierge est montée sur l’autel dès qu’elle eut mis le médicament sous sa langue offrant ainsi gracieusement son agonie qui saisissait son cœur et son corps entier.
J’étais à moitié consciente tout en éprouvant des douleurs, j’avais presque perdu connaissance, cependant dès que le médicament qui était sous ma langue eut fondu, je me suis mise à parler aux pèlerins en m’épuisant pour donner mon témoignage tout en faisant des efforts désespérés. Une fois terminé, des douleurs aigues envahirent ma tête comme si elle allait exploser le plus tôt possible. On m’a administré une deuxième fois l’extrême onction. Mon corps commença à se pelotonner tout en me faisant souffrir. Alors le prêtre m’administra à nouveau l’onction.
Vers trois heures, je me suis mise à crier du fond de mon cœur ardemment vers le Seigneur : « O mon Seigneur bien-aimé qui est mon tout ! A présent, j’ai l’impression que je vais mourir dans de brefs délais, mais je Vous offre volontiers toutes ces souffrances innombrables que j’ai endurées pour la rédaction des Cinq Spiritualités. Alors, je Vous en prie, accordez à vos enfants qui sont réunis ici aujourd’hui la grâce du repentir. Tout spécialement en ce mois consacré à tous les morts, je Vous serais reconnaissante d’emmener au Ciel les âmes des familles et des proches des pèlerins ainsi que celles pour lesquelles ils sont en train de prier si ces âmes étaient au Purgatoire. Si Vous l’acceptez, je vais faire réparation à leur place. A ce moment-là, Jésus qui était revêtu d’un manteau blanc à mes côtés avec une allure charitable. Je commençais à me lever mais je suis tombée avec des douleurs. Jésus me regarda en pitié et me dit :
Jésus : « Ma Petite Ame qui aime ton prochain plus que toi-même ! N’es-tu pas effrayée ou affligée par les souffrances que tu endures au bord de la mort ? »
Julia : « Je suis heureuse avec mes souffrances parce qu’elles apportent l’espoir qu’une seule âme de plus se repente. Mais parfois, je désire être en bonne santé. Parce que je ressens souvent des difficultés et je suis désolée d’avoir à demander l’aide d’une personne lorsque je souffre.D’ailleurs, il me reste beaucoup de travail à faire pour le Seigneur mais que je n’arrive pas à faire. »
Jésus : « Je vois. S’ils collaborent avec toi du fond de leur cœur en accomplissant le travail que tu fais, ils recevront la même récompense que la tienne et partageront la joie avec toi à côté de Ma Mère et de Moi-même au dernier jour. Comme je l’ai déjà dit, aider Ma Petite Ame, cela revient à M’aider Moi-même et Ma Mère. Ainsi, cela signifie qu’ils pourront jouir du bonheur éternel avec toi aux côtés de Moi et de Ma Mère au dernier jour, n’est-ce pas ?
Ma pauvre fille, Mon enfant chéri ! Comme cela a dû être dur pour toi de les voir aussi désobéissants que les Israélites. Mais finalement ils vont se réveiller et se joindre à toi d’un cœur reconnaissant. Cependant, s’ils ne se réveillent pas, c’est leur part, alors ne te fais plus de peine. Dieu le Père ne t’a-t-Il pas dit que même lorsque tu ne fais que respirer, tu joues un rôle significatif pour sauver de nombreuses âmes ? »
Julia : « Je ne suis qu’une pècheresse indigne. Mais mon Jésus bien-aimé qui est mon tout! Cette pècheresse bien qu’elle soit indigne Vous implore à nouveau. Bien que ces douleurs me mènent à deux doigts de la mort avec des saignements abondants et un affaiblissement de la conscience, je souhaite que Vous permettiez aux âmes du Purgatoire, tout spécialementaux âmes des familles des pèlerins de Naju et de leurs parents qui sont réunis ici malgré toutes sortes de persécutions et aussi aux âmes pour lesquelles ils ont prié, d’aller au Ciel en ce mois consacré à tous les morts. »
Jésus : « Dans ce monde actuel, même la majorité des membres du clergé, des religieux et des enfants qui ont été spécialement appelés gardent les portes de leur esprit verrouillées, bloquant l’entrée avec leurs propres connaissances sont balayés par les vagues violentesde leur amour dénaturé.
Cependant, soi-disant qu’ils Me font connaître au peuple tout en se préoccupant de fausses spiritualités qui dissimulent leur hypocrisie et leur avidité, ils te persécutent avec une ruse calomnieuse, toi qui Me rend témoignage avec une fidélité incomparable. Dans ce sens, ce monde est devenu atroce et misérable faisant bloc au salut.
(Note : Peu à peu cela s’imbibe dans leur esprit et ils ne font confiance qu’en eux-mêmes comme l’eau qui pénètre discrètement, alors ils renversent leur prochain en procédant à des attaques astucieuses et calomnieuses.)
Néanmoins, tu as accepté les obstacles étant des mesures extrêmement injustes comme un cadeau pour accélérer l’acquisition des saintes vertus, en offrant volontairement les souffrances de la double mort qui te submergent à tous les instants pour leur salut en avançant avec un esprit courageux sans hésitation. C’est pourquoi, comment pourrais-je refuser ta supplication ? Puisque tes souffrances unies à mes souffrances étaient si intenses aujourd’hui, je sauverai dix-mille trois âmes(les 10,003 âmes) du Purgatoire comme tu le désires. Regarde à présent ! »
Jésus me montra des tombes innombrables puis je vis des bouts de bois noirs posés devant ces tombes.
Jésus : « Souffle sur ces tombes »
Julia : « Quoi donc ? Moi ? »
Jésus : « Oui, tu as toujours bien fait ce que je t’ai demandé de faire, c’est pourquoi je te demande de souffler cette fois-ci. Tu l’as déjà fait auparavant, n’est-ce pas ? A ce moment-là, tu as pu bien voler parce que tu as fait ce que je t’ai demandé. Sur le chemin, il y avait tant de tombes et je t’ai demandé de “souffler sur les tombes.’’
Et lorsque tu as soufflé sur les tombes, comme cela t’avait été ordonné, les tombes se sont ouvertes. Puis lorsque tu as soufflé à nouveau, les os se sont rejoints en faisant un grand bruit. Ensuite, lorsque tu as soufflé sur les os, ils se sont recouverts de chair et finalement lorsque tu as soufflé sur eux, ils se sont mis à respirer. Ils sont revenus à la vie, ont été sauvés et sont allés au Ciel. Tu t’en souviens ? »
Julia : « Bien sûr, je m’en souviens clairement comme si cela venait juste d’avoir eu lieu hier. Mais comment le Seigneur et la Sainte Mère ont-ils pu confier cette grande œuvre à une pècheresse indigne comme moi ? »
Jésus : « Ne t’ai-Je pas déjà dit que Je t’ai préparée ? Je t’ai mis à l’épreuve vraiment de nombreuses fois pendant ce temps. Mais tu ne M’as déjà déçu pas même un seul instant. A présent, souffle, vas-y ! »
Je me mis à souffler de toutes mes forces sur les tombes innombrables. C’est alors que tous les bâtons noirs qui étaient couchés devant les tombes disparurent et, à leur place, se dressaient des croix lumineuses. A ce moment-là, Jésus éleva ses mains et bénit les tombes en disant.
Jésus : « Aujourd’hui Je vais donner une absolution complète sur les réparations inachevées de ces âmes (les 10,003 âmes) du Purgatoire grâce aux supplications de la Petite Ame. Voilà toutes les âmes que tu as sauvées aujourd’hui ! »
Julia : « Jésus, mon Seigneur, je sais qu’elles ont été sauvées. Mais il ne m’a pas été donné de voir de mes propres yeux leur tombes s’ouvrir ou bien leurs âmes s’élever au Ciel. »
Jésus : « Je leur ai accordé le pardon pour leurs pénitences inachevées grâce à ta supplication sanglante, c’est pourquoi leurs âmes se sont purifiées et des croix lumineuses ont été érigées, n’est-ce pas ? Elles ont déjà été élevées au Ciel escortées par les anges. Toutefois, veux-tu vraiment le voir de tes propres yeux ? »
Julia : « Oui, je le veux. Pourriez-Vous me le reproduire ? »
Jésus : « Oh, quelle adorable et charmante enfant favori, mon enfant! Devrais-Je te le montrer en le reproduisant? »
Julia : « Oui, j’aimerais bien. »
Aussitôt après ma réplique, ces innombrables tombes s’ouvrirent et un grand nombre d’âmes émergèrent de leurs tombes. Capturée par la scène, je m’exclamais spontanément. Les âmes montaient au Ciel comme des papillons escortées par les anges. Ils étaient si nombreux qu’on ne pouvait pas les compter.
« Oh, mon Amour, mon Tout ! Qui suis-je, moi cette pécheresse, pour que Vous m’aimiez tant ? Même au cœur des souffrances d’agonie, mon cœur qui va vers Vous est aussi joyeux comme cela. Que devrais-je désirer de plus que cela ? Vous seul êtes ma joie, mon espoir et mon tout ! Même si le poids des souffrances pèse lourd sur moi, mon cœur est plein de joie comme cela. C’est le repos et la paix de cette pécheresse. Chaque fois que c’est nécessaire, Vous nous accordez autant de grâces que nous en avons besoin. Vous êtes l’amour éternel pour chacun de nous. »
Ce n’est qu’après avoir rencontré Jésus que j’ai repris conscience et j’ai pu rencontrer les pèlerins pendant le temps de rencontre pour partager l’amour de Dieu avec eux.
Ses douleurs reçus pendant Julia est en train d'écrire le Message