497. L'histoire qui a éclaté lors de la Veillée de prière

💌 497. L'histoire qui a éclaté lors de la Veillée de prière

En 1980, quelques jours après Chuseok (une fête d'action de grâce coréenne), mon mari et moi, qui rentrions du travail, nous nous sommes préparés à la hâte pour assister à une réunion de prière nocturne. J'ai laissé le salon aux soins des employés. Mon mari et moi avons ensuite pris un bus longue distance pour Gwangju. La perspective de rencontrer le Seigneur me remplissait d'une joie immense et mon bonheur était plus grand que celui d'un jeune marié en route pour rencontrer sa fiancée.


L'endroit où nous nous rendions pour la réunion de prière de la nuit était chez les Sœurs de la Petite Fleur situé sur le mont Mudeung à Gwangju. N'ayant entendu parler de son emplacement que verbalement, nous ne savions pas exactement où nous allions. Nous avons simplement suivi une certaine lumière venant de quelque part au milieu de la nuit noire et de la pluie battante et nous sommes finalement tombés sur un centre de prière protestant appelé Centre de Prière Holmon. Lorsque nous avons demandé où se trouvaient les Sœurs de la Petite Fleur, on nous a répondu ne pas être au courant.



Puis ils ont ajouté : « Puisque vous êtes déjà venus jusqu'ici, entrez, s'il vous plaît. Nous pouvons prier ensemble ici. »  Mais nous avons répondu : « Nous sommes désolés. Nous devons rencontrer quelqu'un là-bas » puis nous sommes partis. Bien que nous devions à nouveau errer, nous nous tenions toujours la main et nous avons traversé un chemin de montagne sombre et pluvieux le cœur joyeux. Alors que nous marchions sur le sentier montagneux, mon mari a même été surpris quand ses chaussures ont dérapé.


Cependant, comme nous ne trouvions toujours pas notre destination, mon mari m'a dit : « Chérie, devrions-nous faire demi-tour ? » Je lui ai répondu : « Chéri, la grâce que nous allons recevoir aujourd'hui semble immense parce qu'il semble que le diable essaie de nous empêcher de  trouver le chemin » et je n'ai jamais baissé les bras. J'ai imploré Jésus avec ferveur. « Jésus, aujourd'hui je veux participer à la retraite et ne faire qu'un avec Vous. Guidez-nous pour trouver l'endroit et éclairez notre chemin. »

Alors que je priais, j'ai immédiatement eu l'impression d'entendre vaguement le son d'un hymne venant de quelque part. En plaçant notre espoir dans ce son, nous avons réussi à trouver notre chemin, même si nous avons trébuché et sommes tombés sur la route obscure dans la nuit. Enfin, nous sommes arrivés au Centre de Prière Sohwa (Sœurs de la Petite Fleur). J'ai loué et adoré le Seigneur qui nous a guidés sur le chemin. Alors que les gens du Centre de Prière de Holmon disaient ne pas savoir où se trouvait le centre, celui-ci était en fait très proche de chez eux.


Comme nous ne savions pas que nous étions tout près, nous avons fini par prendre une route longue et sinueuse. Malgré nos vêtements trempés et nos chaussures devenues boueuses à force de glisser sur la route mouillée, je ne pouvais m'empêcher de penser : « Comme le Chemin de Croix a dû être difficile pour Jésus, mon Seigneur ... C'était un chemin de souffrance menant à la mort … » En contemplant cette pensée, je me suis rendu compte de la joie et de la satisfaction que j'éprouvais à avoir trouvé ce chemin malgré les difficultés.



Quelles que soient les difficultés de la route, mon cœur était rempli d'amour et de joie pour Jésus, car je pratiquais le Semchigo comme si je participais à ses Souffrances. Ce n'est qu'à minuit que nous sommes finalement arrivés, tout juste pour constater que la première partie de la réunion de prière était terminée. Paul Lee, président du mouvement de renouveau charismatique, y avait délivré un message.

« Il y a ici ce soir quelqu'un qui recevra avec force les dons de guérison et de prophétie en particulier, ainsi que divers autres dons, et qui verra pleinement Dieu. Priez beaucoup, s'il vous plaît. » J'ai entendu dire que le président n'avait jamais prononcé de telles paroles auparavant, mais il l'a fait ce jour-là. J'ai alors été convaincue que la personne dont il parlait devait être moi, et j'ai dit à mon mari : « Il doit s'agir de moi ! »



Mon mari s'est aussi exclamé : « Cela pourrait vraiment être toi. » C’était la première fois que j'assistais à une telle réunion de prière. Si une personne ordinaire rencontre des personnes qui pleurent et tremblent pendant les prières ou qui parlent des langues étranges qu'elle ne comprend pas, il n'est pas étonnant qu'elle éprouve de l'aversion (un sentiment de malaise). Cependant, cela ne m'a pas semblé étrange du tout, bien qu'il y ait eu beaucoup de personnes dans ce cas.


C'est plutôt le fait de les voir prier avec ferveur, remplis de l'Esprit Saint, que je trouvais beau. Et moi aussi, j'ai ressenti le désir de prier avec ferveur le Seigneur en étant remplie de l'Esprit Saint. Cependant, au fil du temps, il n'y a pas eu de changement ou de réaction en moi. Alors que je verse habituellement beaucoup de larmes et que je suis facilement émue par de petites choses, je n'ai rien ressenti.


Comme une personne indifférente, aucune larme n'a coulé et aucune émotion ne s'est manifestée en moi. Je me suis dit : « Comment ces gens peuvent-ils pleurer si facilement ? Pourquoi ne puis-je pas être comme eux ? J'aimerais bien verser des larmes moi aussi. » J'étais un peu envieuse, mais j'ai rapidement pratiqué le Semchigo et je l'ai offert. Après la première partie de la réunion de prière, tout le monde est sorti, puis on s'est réuni en groupe, on a discuté par équipe puis on est revenu dans la salle.



À ce moment-là, le président Paul Lee s'est approché de moi et m'a demandé : « Ne ressentez-vous rien ? » J'étais triste de ne rien ressentir et je lui ai répondu : « En effet, Monsieur le Président, je ne ressens rien. » La réunion de prière s'est poursuivie, s'intensifiant au fur et à mesure qu'elle avançait. Avant même de nous en rendre compte, il était près de 3 heures du matin. Une bénévole s'est rapprochée de moi et m'a demandé : « Ma sœur, de quelles prières avez-vous besoin ? »



Lorsqu'elle m'a posé la question, j'ai répondu sincèrement : « Je veux grandir spirituellement. » Elle m'a répondu : « Ne souffrez-vous pas de douleurs physiques ?  ? Si c'est le cas, je prierai pour vous. » Je lui ai répondu : « Non, les problèmes physiques ne comptent pas pour moi en ce moment. Je veux grandir spirituellement. Pour ceux qui ont été appelés de la mort à une vie nouvelle, la chair est futile. »

Cette dernière m'a regardé étrangement pendant un moment, puis s'est moquée de moi en disant : « Ah ! » avant de s'en aller. Mais c'était la volonté du Seigneur. Il n'a pas permis que je reçoive la prière de la bénévole pour qu'Il la fasse personnellement pour moi.


 💗 La page de Ma Réflexion 😇💗

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  「 La Vie préparée par le Seigneur」  

Les Cinq Spiritualités, tout au long de sa vie et dès son enfance 


Sa vie de Maman Julia n’est pas centrée sur elle-même. Sa vie a été préparée par le Seigneur qui nous a donné (à travers la vie de Maman Julia) un exemple parfait de la manière dont nous devrions vivre en accord avec la volonté de Dieu et sur la base de l’Evangile.


Le contenu qui est donné est très spécifique, il décrit les incidents qu’elle a rencontrés, ses souffrances immensurables ainsi que les tribulations qu’elle reçoit constamment des autres. Nous apprenons également comment elle a surmonté toutes les difficultés dans sa vie grâce aux Cinq Spiritualités.


En fait, Maman Julia voulait vivre une vie cachée comme une fleur sauvage sans nom. Mais Jésus lui a dit : « Transmets ta vie » et voulait qu'elle fasse connaître au monde sa vie, la vie de la petite âme préparée par le Seigneur.


Alors Maman Julia a répondu « Amen » et elle essaye d'accomplir la mission qui lui a été confiée. En effet, c’est dans les plans de Dieu que sa vie n’est pas pour elle-même mais pour toucher autant de vies que possible.


「La Vie préparée par le Seigneur」 recouvre toutes les souffrances et les douleurs qu’elle a endurés dans sa vie de son enfance à sa vie récente.

Chaque moment de sa vie est rempli d’immenses douleurs et d’innombrables souffrances, mais elle pratique les Cinq Spiritualités avec diligence et sans faute. Elle a vaincu chacune d’elles en les sublimant par l’amour.


Vous lirez chaque histoire sur la façon dont elle a pratiqué les Cinq Spiritualités dans sa vie difficile. Nous sommes dans un moment décisif et urgent et nous ne savons pas quand Dieu châtiera ce monde remplis de péchés extrêmes.


Tout le monde doit changer et vivre une vie de pénitence. Alors, que signifie le repentir ?  Le repentir, c’est de ne pas pleurer de nos péchés mais de faire disparaître toutes nos mauvaises habitudes et de vivre une vie en accord avec la sainte volonté de Dieu. Les Cinq Spiritualités sont des moyens de vie pour nous diriger vers le chemin de vie que Dieu attend de nous.


La coupe de Dieu déborde en ce temps d’urgence. Nous ne savons pas quand le monde sera châtié ou quand Dieu nous enmènera à la maison. Personne ne peut dire ce qui se passera demain. C’est pourquoi, ces temps sont si critiques qu’il faut nous armer des Cinq Spiritualités immédiatement.

Nous devons connaître et apprendre l’exemple parfait préparé par Dieu en étudiant et en imitant la vie de Maman Julia.

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