💌 493. Les humiliations que j'ai subies en remboursant la dette garantie par mon mari, je les ai acceptées comme étant de ma faute !

Moi qui n'avais pas beaucoup de connaissances, j'ai erré ici et là pour trouver une telle somme d’argent, revenant à mon salon de coiffure épuisée. Alors à peine avais-je commencé à coiffer ma cliente de toutes mes forces, voilà que j'ai reçu un coup de téléphone. C'était la cousine de mon mari. « Belle-cousine ! Tu t'es portée garante pour assister à la faillite d'une personne ? Si tu n'avais pas garanti ses dettes, ma jeune sœur n'aurait pas fait faillite. »

« Pardon ? Tu veux dire que je me suis portée garante de la dette ? » « Ma cousine, c'est ton mari qui l'a fait, donc cela veut dire que tu l’as cautionnée". Furieuse, elle m'a tenu des propos absurdes pendant près d'une heure et m'a maudit en proférant toutes sortes de grossièretés. Par nature, je ne peux pas raccrocher brusquement le téléphone au milieu d'une conversation, même si mon interlocuteur est désagréable ou grossier.

Ainsi, pendant une heure, j'ai écouté ces jurons outrageants, les offrant en pratiquant le Semchigo comme s'il s'agissait d'une mélodie d'amour. Cependant, la situation s'est aggravée au point que les clients qui m'attendaient ont commencé à faire des histoires, me demandant de revenir. Alors que je pensais que l'orage était passé, le téléphone a de nouveau sonné bruyamment. Cette fois, c'est la jeune sœur de ma cousine, celle-là même qui avait demandé à mon mari de se porter garant de sa dette, qui me téléphonait directement.

J'ai répondu au téléphone, m'attendant à ce qu'elle s'excuse, mais elle m'a dit : « Belle-cousine, je n'ai pas à rendre l'argent à ton mari qui l'a garanti pour moi parce qu'il y a eu des moments où nous l'avons nourri chez nous. Et dis à ton mari et à sa mère de ne plus emprunter de tels chemins ! » Ses paroles inattendues m'ont laissée si perplexe que je lui ai demandé : « Puis-je vous demander ce que signifie 'ne pas emprunter de tels chemins' ? »

« Demande à ta belle-mère ! Nous avons toutes les raisons de dire cela », a-t-elle répondu. Après avoir prononcé ses longues paroles absurdes , j'ai reposé le combiné que je tenais à peine.en pratiquant le Semchigo comme si ses mots étaient une autre mélodie d'amour.  Puis, un peu plus tard, j'ai reçu un autre appel de leur mère, la femme de l'oncle de mon mari, qui m'avait autrefois emmenée chez une voyante pour me chasser.

« Espèce de salope ! Comment se fait-il que ton mari ait garanti la dette et ait amené ma fille à ce point, hein ? euh ? Pourquoi avoir cautionné sa dette ? Si vous n'aviez pas cautionné la dette, ma fille n'aurait pas fait faillite. Est-ce que vous vous êtes portés garants d'elle exprès pour qu'elle fasse faillite ?" C'est ce qu'elle m’a dit ! Au salon, j'étais très chargée à m'occuper de plusieurs de mes clientes, mais les membres de leurs familles se sont relayés pour m'appeler et médire de moi.

Comme le seul téléphone se trouvait dans notre pièce, je devais y aller pour prendre les appels. Cependant, chaque fois que j'étais sur le point de coiffer ma cliente, le téléphone sonnait sauvagement, sans cesse. Le son du téléphone était si fort que je ne pouvais pas entendre les hymnes que je mettais au salon. Au fur et à mesure que les choses avançaient, il devenait difficile d'accepter les clientes et, sans que je m'en rende compte, une vieille phrase coréenne m'est venue à l'esprit :  : "Ceux qui ont fait le mal eux-mêmes blâment ceux qui ne sont pas coupables ».

Quand j'y pense avec un raisonnement humain, n'est-ce pas terriblement absurde ? Même si je n'avais aucune idée que mon mari s'était porté garant pour sa cousine, je me suis rendue dans divers endroits et j'ai expliqué ma situation désespérée pour emprunter de l'argent à d'autres personnes afin de rembourser des dettes en son nom, et ce malgré un emploi du temps très chargé. Je me suis dit : "Même s'ils n'expriment pas leur gratitude ou leurs excuses, n'est-il pas anormal qu'ils continuent à m'injurier au téléphone, m'empêchant de faire mon travail de coiffeuse dans mon salon de coiffure ?

J'ai offert tous ces jurons en pratiquant le Semchigo, comme si j'avais reçu de l'amour de la part de la famille de la cousine de mon mari et comme si ces jurons étaient une mélodie d'amour. Cependant, le langage abusif qu'elles utilisaient en m'appelant au téléphone à tour de rôle pendant des heures était si absurde que j'ai essayé de pratiquer le Semchigo, en le considérant comme si j'étais aimée de ces personnes, mais c'était en effet pénible de les écouter. Cependant, je n'ai pas cessé de pratiquer le Semchigo comme si j'étais aimée.

J'ai fait de mon mieux pour offrir toutes ces épreuves au moyen des Prières de Vie pour leur sanctification et leur guérison physique. La jeune sœur de la cousine de mon mari m'a dit : « Je n'ai pas à rembourser l'argent. Dis simplement à ton mari et à sa mère de ne pas vivre de cette manière. » Après avoir entendu cela, je me suis demandé si quelque chose s'était passé entre eux et ma belle-mère. J'ai donc interrogé ma belle-mère à ce sujet lorsqu'elle est passée chez moi à Naju.

« Mère, la jeune sœur de la cousine de mon mari m'a dit que vous et mon mari ne devriez pas vivre de cette manière. Je lui ai donc demandé ce qu'elle entendait par là et elle m'a dit de vous le demander. Est-ce qu'il s'est déjà passé quelque chose dans vos relations avec sa famille ? Mais ma belle-mère a répondu : "Je ne sais pas non plus ce que cela signifie de vivre de cette manière. Puis elle n'a rien dit et s'est contentée de soupirer.

Je me suis demandé s'ils avaient des choses à se reprocher sur ma belle-mère. Ensuite, j'ai interrogé mon mari et il m'a dit : « Non, cela n'existe pas. Qu'est-ce que tu racontes ? » Puis il a ajouté : « Oh, j'ai vécu dans leur maison pendant environ un mois avant de commencer à servir dans l’armée. » J'ai pensé : « Alors, ont-ils dit cela dans l'intention de justifier que nous remboursions leur dette parce qu'ils avaient nourri et logé mon mari à l'époque ?".

Je pensais qu'ils méritaient nos remerciements après avoir fourni à mon mari une chambre et des repas, mais cela s'est passé avant qu'il ne commence à servir dans l'armée, il y a presque 20 ans. Leurs paroles et leur comportement à l'égard de ma famille étaient donc humainement incompréhensibles. Cependant, j'ai prié pour eux qui me harcelaient tant et je me suis dit : "Oh, le Seigneur m'aime tellement qu'il continue à permettre ces épreuves par amour". En pensant ainsi, j'ai offert le meilleur de mes capacités, en pratiquant le Semchigo comme si j'étais appréciée.

Et Jésus m'avait déjà annoncé que le diable me tourmenterait à la mesure de l'amour qu'il me porte et même plus en proportion. » « Ah, alors que je m'approche de Jésus avec joie, le diable essaie de me couper de l'amour de Dieu en m'enlevant ma joie par les hommes? » Immédiatement, je me suis offerte en disant : « Oh Jésus, que Toi seul sois glorifié. »Bientôt, mon angoisse a disparu et mon cœur s'est rempli de joie.

 💗 La page de Ma Réflexion 😇💗

Lien 👉🏻 https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSc9WlagQysT2CMvKVqUbQkAWW-AcVc-Yq17Sndouw4PXLt_cg/viewform?usp=sf_link