492. "Si vous ne pouvez pas rembourser, démissionnez !"
「 La Vie préparée par le Seigneur」
Les Cinq Spiritualités, tout au long de sa vie et dès son enfance
Sa vie de Maman Julia n’est pas centrée sur elle-même. Sa vie a été préparée par le Seigneur qui nous a donné (à travers la vie de Maman Julia) un exemple parfait de la manière dont nous devrions vivre en accord avec la volonté de Dieu et sur la base de l’Evangile.
Le contenu qui est donné est très spécifique, il décrit les incidents qu’elle a rencontrés, ses souffrances immensurables ainsi que les tribulations qu’elle reçoit constamment des autres. Nous apprenons également comment elle a surmonté toutes les difficultés dans sa vie grâce aux Cinq Spiritualités.
En fait, Maman Julia voulait vivre une vie cachée comme une fleur sauvage sans nom. Mais Jésus lui a dit : « Transmets ta vie » et voulait qu'elle fasse connaître au monde sa vie, la vie de la petite âme préparée par le Seigneur.
Alors Maman Julia a répondu « Amen » et elle essaye d'accomplir la mission qui lui a été confiée. En effet, c’est dans les plans de Dieu que sa vie n’est pas pour elle-même mais pour toucher autant de vies que possible.
「La Vie préparée par le Seigneur」 recouvre toutes les souffrances et les douleurs qu’elle a endurés dans sa vie de son enfance à sa vie récente.
Chaque moment de sa vie est rempli d’immenses douleurs et d’innombrables souffrances, mais elle pratique les Cinq Spiritualités avec diligence et sans faute. Elle a vaincu chacune d’elles en les sublimant par l’amour.
Vous lirez chaque histoire sur la façon dont elle a pratiqué les Cinq Spiritualités dans sa vie difficile. Nous sommes dans un moment décisif et urgent et nous ne savons pas quand Dieu châtiera ce monde remplis de péchés extrêmes.
Tout le monde doit changer et vivre une vie de pénitence. Alors, que signifie le repentir ? Le repentir, c’est de ne pas pleurer de nos péchés mais de faire disparaître toutes nos mauvaises habitudes et de vivre une vie en accord avec la sainte volonté de Dieu. Les Cinq Spiritualités sont des moyens de vie pour nous diriger vers le chemin de vie que Dieu attend de nous.
La coupe de Dieu déborde en ce temps d’urgence. Nous ne savons pas quand le monde sera châtié ou quand Dieu nous enmènera à la maison. Personne ne peut dire ce qui se passera demain. C’est pourquoi, ces temps sont si critiques qu’il faut nous armer des Cinq Spiritualités immédiatement.
Nous devons connaître et apprendre l’exemple parfait préparé par Dieu en étudiant et en imitant la vie de Maman Julia.
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💌 492. "Si vous ne pouvez pas rembourser, démissionnez !"
L'explication de mon mari était la suivante : un jour, il a reçu la visite de la cousine. « Frère, je veux commencer à faire quelque chose. Peux-tu te porter garant pour moi ? On dit que seuls les fonctionnaires sont habilités à être garants. J'ai besoin de deux garants. Comme ma sœur aînée, une institutrice, est censée s'en porter garante, cela ne posera pas de problème si tu t'en portes garant toi aussi. Il suffit d'apposer ton sceau ici. »
Mon mari m'a dit qu'il s'était empressé d'y apposer son sceau, prenant ce qu'elle disait au pied de la lettre, sans jamais s'y attarder. Plus tard, cependant, son assurance que sa sœur aînée se porterait également garante s'est révélée être un mensonge flagrant. Et il a appris qu'un de ses amis, qui n'était pas fonctionnaire, s'était porté garant pour elle. Peu après, elle a délibérément fait disparaître son ami garant, de sorte que cette personne ne puisse être retrouvée nulle part.
Elle n'a pas remboursé le capital et les intérêts, ce qui a entraîné la saisie des salaires de mon mari. Mon mari, qui s'était porté garant de la dette, s'est retrouvé impuissant à prendre en charge la totalité de la dette. Lorsque cette affaire a été portée à la connaissance du gouverneur du comté, celui-ci a réprimandé mon mari avec force et sévérité en lui disant : « Si vous ne pouvez pas résoudre ce genre de problème de cette manière, comment pouvez-vous continuer à servir en tant que fonctionnaire ? Si vous ne pouvez pas rembourser, démissionnez !"
Il était embarrassé d'une part, mais il se sentait complètement impuissant d'autre part, car il n'avait pas les moyens de rembourser son prêt. C'est pourquoi il ne pouvait pas se résoudre à m'en parler. Sa cousine, après avoir contracté le prêt, n'a même pas remboursé les intérêts, et encore moins le capital. On a dit qu'elle dirigeait sa propre entreprise, comme une succursale ou quelque chose de similaire.
Elle a d'abord demandé à son ami de se porter garant, mais comme elle était sur le point de faire faillite, elle a retiré son ami de la liste de ses garants. Elle a ensuite menti à mon mari pour qu'il devienne le seul garant. Après lui avoir fait endosser toute la responsabilité, elle n'a même pas payé les intérêts, comme si elle n'y était pour rien. Par la suite, j'ai payé plusieurs mois d'intérêts en son nom. Cependant, même avec le temps, elle n'a même pas payé le reste des intérêts qu'elle devait, à l'exception de ceux que j'avais payés pour elle.
Elle a agi de manière aussi abusive parce qu'elle savait pertinemment que mon mari n'aurait pas d'autre choix que de rembourser l'intégralité du capital et des intérêts. Mais où mon mari, fonctionnaire, pouvait-il trouver l'argent ? Afin de lever la saisie sur son salaire, moi qui n'avais jamais demandé aucune faveur aux autres pour mon propre compte, je n'ai eu d'autre choix que d'emprunter à nouveau de l'argent, avec difficulté, en faisant du porte-à-porte.
J'ai commencé à rembourser la dette, par exemple en empruntant 100 000 wons par-ci, 50 000 wons par-là, etc. J'ai dû rembourser la somme astronomique de trois millions de wons, y compris le montant principal de deux millions de wons et les intérêts courus, ce qui coïncidait avec la période où je devais encore rembourser d'autres dettes.
J'avais ouvert mon salon de coiffure en contractant un prêt pour soutenir notre pauvre situation économique. De plus, mon cousin maternel, Gil-young avait utilisé mon sceau pour emprunter un demi-million de wons à la coopérative de crédit et ne les avait pas remboursés. Cela m'a mis dans une situation extrêmement difficile et précaire, car j'avais été obligée de me déplacer quotidiennement de maison en maison, simplement pour emprunter de l'argent afin de régler ces prêts pour eux.
Gil-young m'avait assuré avec persévérance : « Je vais te rembourser demain. » Cependant, un mois plus tard, il est revenu et il m'a demandé : « S'il te plaît, prête-moi encore 500 000 wons. » Une fois l'argent reçu, il a de nouveau disparu. Cela m'a obligé à passer des journées très chargées à essayer de rembourser ses dettes. En outre, j'ai dû contracter un autre prêt pour déménager dans un nouveau salon de coiffure avec un espace supplémentaire pour nous servir de maison privée. Cela m'a placée dans une situation financière extrêmement difficile. Cela ne s'arrête pas là.
Je devais également rembourser l'argent que Valentino, un paroissien de l'église, devait à la coopérative de crédit. En outre, j'ai dû couvrir les frais d'hospitalisation de ma belle-mère en empruntant de l'argent à ma tante maternelle. Ignorant que mon mari avait apposé son sceau pour sa jeune cousine, j'avais déjà du mal à rembourser ces dettes. Malgré les épreuves, j'ai offert toutes ces difficultés en pratiquant le Semchigo, comme si j'avais contracté une maladie grave et que je devais dépenser tout mon argent en frais médicaux. Cependant, j'ai fini par emprunter à nouveau pour rembourser la dette de la cousine de mon mari. Et la caution dont mon mari s'était porté garant pour n'a fait qu'aggraver la situation, ne me laissant pas la moindre marge de manœuvre.
Bien que les choses se soient déroulées ainsi, mon mari ne m'a même pas dit un seul mot d'excuse. Cependant, pensant qu'il devait être à la fois désolé et reconnaissant dans son cœur, j'ai pratiqué le Semchigo comme s'il me tenait chaleureusement la main et me disait : « Merci ma chérie et je suis désolé. » Malgré tout ce qui s'est passé, il n'a pas prononcé un mot d'excuse.
Et je l'ai consolé : « Chéri, ne t'inquiète pas trop. Puisque le Seigneur m'a fait revivre, je peux travailler et rembourser de telles dettes. Remercions le Seigneur. Si ce genre d'affaire se reproduit à l'avenir, parles-en avec moi, s'il te plaît, d'accord ?"
Cette situation me mettait en effet dans une position très difficile, mais j'étais reconnaissante de pouvoir repartir à zéro en toutes circonstances, car Dieu m'avait ramenée à la vie et m'avait accordé une bonne santé. Je pensais que cette affaire était enfin résolue, mais cela n'a pas été la fin.
💗 La page de Ma Réflexion 😇💗
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