384. Rampant sur les routes de campagne et versant de la sueur et du sang pour fournir de l'argent à ma belle-mère
「 La Vie préparée par le Seigneur」
Les Cinq Spiritualités, tout au long de sa vie et dès son enfance
Sa vie de Maman Julia n’est pas centrée sur elle-même. Sa vie a été préparée par le Seigneur qui nous a donné (à travers la vie de Maman Julia) un exemple parfait de la manière dont nous devrions vivre en accord avec la volonté de Dieu et sur la base de l’Evangile.
Le contenu qui est donné est très spécifique, il décrit les incidents qu’elle a rencontrés, ses souffrances immensurables ainsi que les tribulations qu’elle reçoit constamment des autres. Nous apprenons également comment elle a surmonté toutes les difficultés dans sa vie grâce aux Cinq Spiritualités.
En fait, Maman Julia voulait vivre une vie cachée comme une fleur sauvage sans nom. Mais Jésus lui a dit : « Transmets ta vie » et voulait qu'elle fasse connaître au monde sa vie, la vie de la petite âme préparée par le Seigneur.
Alors Maman Julia a répondu « Amen » et elle essaye d'accomplir la mission qui lui a été confiée. En effet, c’est dans les plans de Dieu que sa vie n’est pas pour elle-même mais pour toucher autant de vies que possible.
「La Vie préparée par le Seigneur」 recouvre toutes les souffrances et les douleurs qu’elle a endurés dans sa vie de son enfance à sa vie récente.
Chaque moment de sa vie est rempli d’immenses douleurs et d’innombrables souffrances, mais elle pratique les Cinq Spiritualités avec diligence et sans faute. Elle a vaincu chacune d’elles en les sublimant par l’amour.
Vous lirez chaque histoire sur la façon dont elle a pratiqué les Cinq Spiritualités dans sa vie difficile. Nous sommes dans un moment décisif et urgent et nous ne savons pas quand Dieu châtiera ce monde remplis de péchés extrêmes.
Tout le monde doit changer et vivre une vie de pénitence. Alors, que signifie le repentir ? Le repentir, c’est de ne pas pleurer de nos péchés mais de faire disparaître toutes nos mauvaises habitudes et de vivre une vie en accord avec la sainte volonté de Dieu. Les Cinq Spiritualités sont des moyens de vie pour nous diriger vers le chemin de vie que Dieu attend de nous.
La coupe de Dieu déborde en ce temps d’urgence. Nous ne savons pas quand le monde sera châtié ou quand Dieu nous enmènera à la maison. Personne ne peut dire ce qui se passera demain. C’est pourquoi, ces temps sont si critiques qu’il faut nous armer des Cinq Spiritualités immédiatement.
Nous devons connaître et apprendre l’exemple parfait préparé par Dieu en étudiant et en imitant la vie de Maman Julia.
Chapelle de Notre Dame de Naju 12, Najucheon 2-gil, Ville de Naju, Jeonnam, 58258, Corée du Sud |
Montagne de Notre Dame de Naju Singwang-ro 425, Dasi-myeon, Ville de Naju, Jeonnam, Corée du Sud
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💌 384. Rampant sur les routes de campagne et versant de
la sueur et du sang pour fournir de l'argent à ma belle-mère
Ma maison était située au pied de la montagne, l'endroit le plus élevé du quartier. J'ai quitté la maison l'esprit vide, m'inquiétant de savoir où j’allais pouvoir emprunter autant d'argent. C'était tellement frustrant que j'avais l'impression que mon cœur allait voler en éclats. Mes larmes continuaient de s’écouler de manière incontrôlée, brouillant ma vision. J'ai essuyé mes larmes en me disant : "Yoon Hong-seon, ne baisse pas les bras. Montre à nouveau le pouvoir de l'amour en pratiquant le Semchigo comme si ta belle-mère t'avait montré de l'amour." C'est ainsi que je me suis ressaisie.
"Oh mon Dieu, mon Père ! Aidez-moi à trouver de l'argent pour ma belle-mère. Donnez-moi la force pour y parvenir. " J'ai prié tout en pensant : "Je vais d'abord emprunter de l'argent à la propriétaire qui habite juste en dessous de chez moi." J'ai donc rampé jusqu'à la maison où vivait ma propriétaire. Je ne pouvais pas lui dire que je venais emprunter de l'argent pour ma belle-mère. Je l'ai suppliée et j'ai dit : "Je suis désolée. Je souffre tellement que je dois aller à l'hôpital. Si vous avez de l'argent, pourriez-vous bien m’en prêter ?"
"Oh, mon Dieu ! Vous qui ne pouvez même pas marcher, vous allez à l'hôpital ; bien sûr, je vais vous prêter de l’argent!" Elle m’a donné tout l'argent qu'elle possédait, jusqu'à la dernière pièce de monnaie. J'étais très reconnaissante à l’égard de la gentille propriétaire qui m'avait donné tout ce qu’elle possédait, mais l'argent était loin d'être suffisant. Je me suis donc rendue dans les autres maisons du quartier, mais tout le monde m'a dit ne pas avoir d'argent. Qui aurait pu avoir de l'argent à la maison alors que tout le monde était pauvre à l'époque ?
De plus, il était encore plus difficile d'emprunter de l'argent car le quartier où je vivais était entièrement composé de fermiers qui gagnaient leur vie grâce à l'agriculture. "Si je rentre tard, ma belle-mère, qui est censée retourner à Gwangju, sera très en colère..." Lorsque cette pensée m'a traversé l'esprit, je suis devenue folle de douleur, ma santé mentale s'est estompée au milieu de la douleur, pourtant j'ai rampé de toutes mes forces jusqu'au bas du village.
Comme je ne pouvais pas marcher normalement, je rampais difficilement et me cachais dans un endroit invisible chaque fois que quelqu'un passait. Et lorsque personne ne passait, je rampais à nouveau, et je recommençais à faire la même chose. En rampant sur le chemin de terre, je toussais légèrement à cause de la poussière qui s'élevait, et mes vêtements étaient couverts de terre. Mes mains et mes genoux étaient éraflés et de petits cailloux et du sable s'y étaient incrustés ce qui me causait une grande douleur.
Mais je n'ai pas eu le temps de les balayer, car je ne pouvais pas tergiverser ne serait-ce qu'un instant à l'idée que ma belle-mère m'attendait. J'ai rampé jusqu'à ce que mes vêtements soient trempés de sueur. J'ai visité plusieurs maisons et emprunté de l'argent avec beaucoup de difficulté. Je ne pouvais pas dire que j'avais besoin d'argent pour ma belle-mère, mais j'ai fait cette demande : " Je souffre beaucoup et j'ai besoin d'aller à l'hôpital, pouvez-vous me prêter un peu d'argent ? " Heureusement, ces personnes m'ont volontiers prêté le peu d'argent qu'elles avaient.
J'étais très reconnaissante, mais il s'agissait d'une petite somme d'argent. Même en cumulant toutes les sommes, c'était loin d'être suffisant pour répondre à la demande de ma belle-mère, alors je suis ressortie et j'ai rampé pendant longtemps pour emprunter de l'argent. Combien de maisons ai-je dû visiter pour emprunter de l'argent ? Même si j'ai visité de nombreuses maisons, cela n'a pas suffi. La douleur qui m'envahissait à chaque instant me vidait de toute mon énergie, mais je continuais à ramper sur la route accidentée de la campagne et mon corps tout entier tremblait.
J'étais à bout de souffle et j'avais les mains et les genoux écorchés, suintant de sang. Mais chaque fois que je tendais les mains pour toucher le sol, je priais Dieu avec ferveur : "Oh mon Dieu, que de larmes, d'angoisse et de sacrifices douloureux dans mon cœur déchiré ont été nécessaires pour obtenir cet argent !"
"Afin que mon sacrifice ne soit pas vain, je Vous prie de le laisser s'écouler dans ma belle-mère et de changer ainsi son cœur en toute beauté". Je L'ai imploré avec ferveur.
Alors même que je m'efforçais de supporter cette douleur extrême et cette détresse en pratiquant le Semchigo comme si j'avais été aimée, ma situation était si difficile à bien des égards que mes larmes coulaient de façon incontrôlable.
Combien de larmes ai-je répandues sur la route de campagne en rampant de toutes mes forces ? Au milieu de tout cela, je me suis souvenue de la maison de la femme d'un policier que je connaissais déjà et que j'avais rencontrée. J'ai rampé jusqu'à sa maison de toutes mes forces. C'était une longue distance, et j'ai failli rencontrer beaucoup de gens.
Si je voyais quelqu'un s'approcher, je me cachais rapidement derrière l'herbe près de la route. Dès que la personne était passée, je recommençais à ramper, puis je me cachais à nouveau si quelqu'un était en vue. Jusqu'à présent, je n'avais jamais demandé une faveur à quelqu’un, ni menti dans ma vie, mais (ce jour-là) j’ai continuellement sollicité les autres pour obtenir une aide et j'ai même menti pour ma belle-mère. En arrivant chez l'officier de police, j'ai rassemblé mon courage pour parler à sa femme, même si cela me mettait mal à l'aise.
"Eh bien... Je souffre tellement que je dois aller à l'hôpital tout de suite, mais je n'ai pas d'argent pour couvrir les frais médicaux, alors si vous en avez, pourriez-vous me prêter de l'argent ? Je vous rembourserai bientôt". La femme de l'officier de police a eu une expression apitoyée et m'a dit : "Oh là là, qu'est-ce que je dois faire ? Je suis vraiment désolée pour vous. Attendez un peu." Puis elle m'a rapidement prêté la somme d'argent dont j'avais besoin.
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