382. Ma belle-grand-mère à la campagne qui m'apportait du bouillon et de la viande


💌 382. Ma belle-grand-mère à la campagne qui m'apportait du bouillon et de la viande


Ma mère continuait de préparer des repas pour moi avec divers aliments disponibles au milieu de son emploi du temps chargé à la ferme car je ne pouvais rien manger. Pourtant, je les ai tous vomi car je ne pouvais pas les digérer. Ensuite, le souvenir suivant m'est revenu en mémoire de mon vomissement à l'hôpital universitaire de Jeonnam à cause de la compresse laissée dans mon estomac pendant l'opération. J'ai pu manger le ragoût spécial et sain que ma compagne de chambre m'avait préparé avec amour.


J'ai donc pensé que je pourrais peut-être digérer au moins un peu de ce ragoût spécial et sain, mais je n'ai pas pu me résoudre à le dire à ma mère qui avait beaucoup souffert à cause de moi. Même si je ne pouvais pas manger et que je souffrais, je n'avais pas les moyens d'acheter le ragoût que je pensais pouvoir manger. Pourtant, je l'ai offert en pratiquant le Semchigo comme si j'avais mangé ce ragoût.



Un jour, ma belle-grand-mère vivant dans une zone rurale m'a rendu visite, apportant avec elle une marmite de bouillon qu'elle avait préparé avec amour et de la viande provenant d'un chien tout entier (*il y a de cela quelques décennies, lorsque la Corée du Sud était beaucoup plus pauvre qu'aujourd'hui, la viande de chien était consommée pour se nourrir), disant qu'elle avait entendu dire que j'étais malade et que le bouillon et la viande amélioraient ma santé, je n'avais jamais imaginé une chose pareille. Cela contrastait avec ce que ma belle-mère avait fait lorsque je lui avais demandé de me préparer une soupe nourrissante spéciale alors que j'étais hospitalisée. Ma belle-mère avait alors exigé de recevoir tout l'argent nécessaire pour couvrir les dépenses liées à la viande, aux condiments et aux frais de transport. Mais c'est sous ces conditions financières qu'elle m'avait offert un ragoût sain avec une livre de viande.

En revanche, ma belle-grand-mère m'avait apporté le bouillon et la viande d'un chien entier sans me demander un seul centime, alors que je ne lui avais jamais parlé de ma maladie. Je lui étais reconnaissante de son amour et de son dévouement, ce qui m'a fait pleurer. Des années auparavant, ma belle-grand-mère, qui m'avait empêchée d'aller à l'église catholique, était tombée dans le piège de ma belle-tante et m'avait même emmenée chez une voyante, de connivence avec ma belle-mère, pour me chasser.



Cependant, contrairement à ce qu’elles avaient prévu, la voyante les a sévèrement réprimandées, et non moi. Depuis lors, ma belle-grand-mère a été très gentille avec moi. Ensuite, ma mère m'a préparé un ragoût spécial et sain avec beaucoup de soin à partir de la viande que ma belle-grand-mère avait achetée. Cependant, même si c'était la première fois depuis longtemps que j'avais l'occasion de manger ce ragoût, je n'ai pas pu le digérer et j'ai fini par tout vomir. J'ai donc laissé ma mère en prendre pour se nourrir.

Quant au bouillon, je l'ai également vomi dès que j'ai essayé de le prendre. Je l'ai donc conservé au réfrigérateur. Par la suite, je l'ai sorti et réchauffé pour le consommer, mais je n'ai pas réussi à le manger et j'ai fini par tout vomir. Je recommençais sans cesse le procédé. Et comme je craignais qu'il ne soit avarié, je le faisais bouillir chaque fois que j'en avais le temps. Comme j'ai répété cette opération pendant plus d'un mois, le bouillon a commencé à dégager une odeur nauséabonde et s'est finalement transformé en une boisson d'eau insipide et peu appétissante qui n'était plus mangeable.



Selon toute logique, si l'on continue à faire bouillir quelque chose, cela finit par devenir dense. Mais le bouillon est devenu comme un liquide nauséabond, ce que je trouvais étrange. De plus, cela n'avait pas de sens de manger un aliment qui s’était détérioré. Je n'ai donc eu d'autre choix que de jeter le bouillon que ma grand-mère avait préparé avec amour.

Mais j'ai prié Dieu pour que tous les éléments nutritifs de la viande et du bouillon que ma belle-grand-mère avait apportés soient entièrement absorbés par elle et par ma famille. Je l'ai également offert en pratiquant le Semchigo comme si je l'avais mangé. Même si je ne l'ai pas mangé, je ne peux pas oublier l'amour que ma belle-grand-mère m'a porté en dépit du temps qui a passé.



Même si ce fut le seul cadeau qu'elle m'ait fait de son vivant, je lui en suis très reconnaissante, même aujourd'hui, en évoquant ce souvenir !


Je n'ai jamais oublié l'aide et l'amour exceptionnels que ma belle-grand-mère m'a prodigués. Ainsi, après avoir été guérie par le Seigneur de mon cancer en phase terminale et avoir recouvré la santé, j'ai fait tout ce qui était possible pour faire plaisir à ma belle-grand-mère chaque fois qu'elle venait chez moi. Je lui ai acheté plusieurs vêtements et je lui ai préparé de nombreux plats pour lui montrer mon amour et mon affection dans la mesure du possible.

Lorsqu'elle n’a plus été en mesure de se déplacer, je l'ai emmenée dans un hôpital de soins infirmiers proche de Naju et je lui ai rendu visite fréquemment. Je lui ai apporté de délicieux repas, je l'ai aidée à se nourrir pendant ses repas tout en priant pour elle, puis je lui ai tenu compagnie en lui faisant des massages. Elle était ravie de me voir, tout comme un petit enfant.



Un jour, je suis allée voir ma belle-grand-mère et j'ai prié pour elle. Le lendemain, elle est décédée paisiblement. Ma dernière visite auprès d’elle n'était pas intentionnelle pour préparer sa fin de vie, mais je lui ai dit beaucoup de paroles de réconfort et c'est ainsi que je l'ai préparée à mourir. Quant à moi, je peux dire que j'ai fait de mon mieux pour ma belle-grand-mère. Mais après sa mort, j'ai eu tellement de peine pour elle que ce que j'ai fait de mon mieux n'a pas suffi. Comme mon cœur a souffert !!!

Après sa mort, j'ai offert une messe pour le repos de son âme. Depuis lors, chaque fois que son souvenir me vient à l'esprit, j'offre les prières de vie de tout cœur pour qu'elle puisse jouir du bonheur éternel aux côtés du Seigneur et de la Sainte Vierge.

 

❤️ Nous apprécions que vous puissiez partager vos bénédictions, vos expériences, vos pensées et  la grâce que vous avez reçue par "La Vie préparée par le Seigneur" avec les autres. 🌹 Comme Maman Julia le disait que "La joie et la grâce sont doubles et même triples 💞💝 lorsqu'elles sont partagées💖🎁entre nous."

🕊️💗 La page de la Réflexion 💗👇

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  「 La Vie préparée par le Seigneur」  

Les Cinq Spiritualités, tout au long de sa vie et dès son enfance 


Sa vie de Maman Julia n’est pas centrée sur elle-même. Sa vie a été préparée par le Seigneur qui nous a donné (à travers la vie de Maman Julia) un exemple parfait de la manière dont nous devrions vivre en accord avec la volonté de Dieu et sur la base de l’Evangile.


Le contenu qui est donné est très spécifique, il décrit les incidents qu’elle a rencontrés, ses souffrances immensurables ainsi que les tribulations qu’elle reçoit constamment des autres. Nous apprenons également comment elle a surmonté toutes les difficultés dans sa vie grâce aux Cinq Spiritualités.


En fait, Maman Julia voulait vivre une vie cachée comme une fleur sauvage sans nom. Mais Jésus lui a dit : « Transmets ta vie » et voulait qu'elle fasse connaître au monde sa vie, la vie de la petite âme préparée par le Seigneur.


Alors Maman Julia a répondu « Amen » et elle essaye d'accomplir la mission qui lui a été confiée. En effet, c’est dans les plans de Dieu que sa vie n’est pas pour elle-même mais pour toucher autant de vies que possible.


「La Vie préparée par le Seigneur」 recouvre toutes les souffrances et les douleurs qu’elle a endurés dans sa vie de son enfance à sa vie récente.

Chaque moment de sa vie est rempli d’immenses douleurs et d’innombrables souffrances, mais elle pratique les Cinq Spiritualités avec diligence et sans faute. Elle a vaincu chacune d’elles en les sublimant par l’amour.


Vous lirez chaque histoire sur la façon dont elle a pratiqué les Cinq Spiritualités dans sa vie difficile. Nous sommes dans un moment décisif et urgent et nous ne savons pas quand Dieu châtiera ce monde remplis de péchés extrêmes.


Tout le monde doit changer et vivre une vie de pénitence. Alors, que signifie le repentir ?  Le repentir, c’est de ne pas pleurer de nos péchés mais de faire disparaître toutes nos mauvaises habitudes et de vivre une vie en accord avec la sainte volonté de Dieu. Les Cinq Spiritualités sont des moyens de vie pour nous diriger vers le chemin de vie que Dieu attend de nous.


La coupe de Dieu déborde en ce temps d’urgence. Nous ne savons pas quand le monde sera châtié ou quand Dieu nous enmènera à la maison. Personne ne peut dire ce qui se passera demain. C’est pourquoi, ces temps sont si critiques qu’il faut nous armer des Cinq Spiritualités immédiatement.

Nous devons connaître et apprendre l’exemple parfait préparé par Dieu en étudiant et en imitant la vie de Maman Julia.

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