💌 528. Obtention du prix d'argent dans la catégorie maquillage lors d'un concours de compétences en matière esthétique.

Deux ans après l'ouverture du salon de coiffure Jeong, en août 1980, j'ai remboursé toutes mes dettes. Le 27 août 1982, j'ai acheté deux terrains, l'un de 430 pyeong et l'autre de 400 pyeong (1 pyeong = 3,3 mètres carrés), en face de l'université Dong-shin. C'était un résultat extraordinaire obtenu avec l'aide du Seigneur, tout en remboursant les dettes de beaucoup d'autres personnes, y compris celles de mon cousin, de ma belle-mère, d’un membre de l'église et d’un cousin par alliance, tout en étant occupée par le mouvement charismatique et diverses activités de l'église.

L'institut de coiffure Jeong que je dirigeais était le plus grand et le plus prestigieux de Naju. Son succès était tel qu'en 1980, son bénéfice net s'élevait à plus de 2 millions de wons. J'ai toujours cru que Dieu était le véritable propriétaire de notre salon de coiffureet que j'étais son employée, et j'ai donc toujours fait de mon mieux pour le diriger consciencieusement en veillant à ne pas déshonorer le Seigneur.

Mais un jour, les gens ont commencé à chuchoter dans mon dos, à me juger et à me critiquer en disant : « Cette jeune femme n'engage des coiffeurs que pour gagner de l'argent alors qu'elle ne sait pas coiffer elle-même. « Elle a ouvert un salon de coiffure sans rien connaître à la coiffure et en plus, elle prétend faire l'œuvre de Dieu ! Dieu va-t-il la payer ou lui donner à manger ? » J'ai immédiatement accepté de reconnaître que cela était de ma faute et j'ai demandé pardon à Jésus.

« Oh Jésus, Vous êtes insulté à cause de mes manquements. Pardonnez-moi d'être infidèle et de Vous causer des ennuis pour avoir été négligente au salon de coiffure, même si ce n'était qu'un peu pendant que je faisais le travail du Seigneur. C'est aussi ma faute de leur avoir donné une occasion de me juger à cause de ma présence et du fait que j'ai l'air d'avoir 19 ans. Alors je vous prie de pardonner leurs péchés à eux aussi ».

Après m'être confessée, j'ai décidé de participer à un Concours d'esthétique pour rendre gloire au Seigneur et prouver ma valeur à ceux qui me jugeaient. En 1983, j'ai participé pour la première fois à un concours de beauté dans la catégorie maquillage. Comme j'étais occupée à faire le travail du Seigneur et que je n'avais pas de contacts avec d'autres salons de coiffure, je n'avais pas beaucoup d'informations préalables. J'ai donc simplement engagé un mannequin et j'ai participé le jour du concours.

Mais quand je suis arrivée sur place, j'ai vu que tous les autres participants avaient déjà maquillé leurs mannequins avec un maquillage de base. Elles n'ont fait que du maquillage de couleur sur place. C'était inattendu, mais je me suis mise à pratiquer le Semchigo comme si tout le monde était sur un pied d'égalité. Après avoir prié : « Seigneur et Sainte Mère ! Je Vous en prie, soyez personnellement avec moi pour que moi, qui suis indigne, je puisse révéler Votre gloire, Seigneur ! » Et j'ai commencé le maquillage.

J'ai offert des Prières de Vie comme d'habitude et j'ai commencé par un massage à la serviette de vapeur chaude. Les juges se sont promenés parmi les esthéticiennes qui se maquillaient tout au long de la compétition et ont prêté une attention particulière à mes compétences en matière de beauté pendant un long moment, en commençant par un massage avec une serviette de vapeur chaude. J'ai prié tout en veillant à ce que la peau soit humide et douce pour que le maquillage s'applique bien.

« Seigneur, avec Votre amour chaleureux, faites fondre et adoucir nos cœurs têtus et endurcis afin que nous puissions devenir des âmes dignes de Vous servir ». Comme j'appliquais un maquillage de base alors que d'autres personnes avaient déjà terminé, j'ai prié : « Seigneur ! Quelle que soit la richesse de leur maquillage, comment peut-il être beau si la peau n'est pas en bon état ?

De même que l'on construit une maison sur un rocher, veuillez d'abord fortifier nos cœurs afin que nous soyons fermement enracinés dans le Seigneur ». J'ai ensuite appliqué un fond de teint. Enfin, j'ai pris le pinceau et j'ai appliqué de bon cœur un maquillage de couleur. J'ai prié : « Ô Jésus, tout comme les différentes couleurs rehaussent la beauté, faites que nos cœurs soient aussi colorés par Votre lumière multicolore et rayonnante, ô Seigneur et que nous puissions devenir Vos témoins, Vous qui êtes la Lumière pour le monde entier ».

Bien que mes mains soient naturellement rapides à l’ouvrage, le Seigneur et la Sainte Mère étaient personnellement avec moi à travers mes prières de Vie (Transformer la vie quotidienne en prières), et j'ai donc terminé le maquillage plus rapidement que d'habitude ce jour-là. Cependant, alors que je l'avais terminé, les autres participantes, qui n'appliquaient qu'un maquillage de couleur, n'avaient pas encore achevé leur travail. En attendant que celles-ci finissent, j'ai prié : « Seigneur, que ces nombreuses coiffeuses apprennent à Vous connaître et deviennent des esthéticiennes qui décorent les âmes, et non de simples professionnelles soucieuses de gagner de l'argent », et j’ai l’offrande de toutes ces coiffeuses au Seigneur.

À la fin du concours, une cérémonie de remise des prix a été organisée. « Le prix d'argent ! Salon de beauté Naju Jeong !

Quel que soit le résultat, j'aurais été reconnaissante, mais j'ai cru que j'avais reçu le prix parce que le Seigneur et la Sainte Mère étaient personnellement avec moi. « Oh ! Seigneur, soyez loué et glorifié ! ». Alors que je recevais le prix et que je prenais des photos commémoratives, la personne qui avait gagné le prix de bronze s'est approchée de moi prudemment et tranquillement, en me demandant : « Combien avez-vous dépensé pour cela ? »

Je n'ai pas compris ce qu'elle voulait dire et j'ai demandé : « Excusez-moi ? De quoi parlez-vous ? » Elle m'a alors expliqué : « Non, je veux dire que vous avez gagné le prix d'argent. Combien avez-vous payé pour le gagner ? » Interloqué par cette question inattendue, j'ai répondu : « Quoi ? Doit-on payer de l'argent pour obtenir le prix ? » Elle a jeté un coup d'œil inquiet autour d'elle, puis s'est brusquement tue, a fermé la bouche et s'est éloignée.

« Oh, Jésus ! D'autres peuvent payer pour des prix, mais c'est Vous qui avez décerné le prix d'argent, n'est-ce pas ? Je Vous suis infiniment reconnaissante de m'avoir révélé Votre incroyable pouvoir ! Ce prix d'argent vaut plus qu'un prix d'or ! » J'ai loué, remercié et glorifié le Seigneur.

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